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 Une discussion ou une exécution [Mallo]

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Théo Newman
Théo Newman

Skaikru


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MessageSujet: Une discussion ou une exécution [Mallo]   Une discussion ou une exécution [Mallo] EmptyJeu 13 Aoû - 16:25

Dans toutes les histoires il y a du désespoir
Mallo & Théo



Mais quel endroit de merde, tout était réellement pourri ou ça n’allait pas dans le sens de Théo, difficile de vraiment savoir mais une chose était sûre et certaine, ça n’allait pas. Déjà tout avait commencé par un matin plutôt chaotique avec des imbéciles de soldat trouvant le moyen de faire des alertes pour des choses complètement délirantes. Ils avaient des armes non, ils pouvaient pas faire un tir en rafale histoire de se rassurer, oui oui au pire tuer un ou deux écureuils, quelques sangliers et une biche ne fendrait certainement pas le cœur de Théo. Certes, ce n’était pas tellement grave d’être réveillé par des inquiétudes et il n’aurait pas dû s’énerver outre mesure pour cela mais bon c’était plutôt une sorte d’accumulation de choses qui rendait tout tellement plus compliqué. Si encore il y avait eu des problèmes une fois en dehors du bois, des ennemis à abattre ou qu’importe, un peu d’action, du changement dans les idées mais non le seul danger était venu d’une flaque de boue, ah oui parce que ça on pouvait bel et bien remercier la terre pour arroser tout sur son passage et rendre les déplacements bien plus difficile. Si Théo était couvert de boue, de la tête au pied, ce n’était point qu’il ne tenait pas sur ses jambes, au contraire lui avançait prudemment depuis le début mais c’était l’autre là, l’emmerdeur de pacotille qui sursautait au moindre bruit comme si tous les ennemis allaient fuser sur eux. Cet imbécile stressé avait glissé et Théo avait eu la merveilleuse idée, merveilleuse hein, de le rattraper et d’être entrainé par son poids et de ce fait, termina son héroïque sauvetage dans la boue. Après ce malencontreux accident, c’est bien simple, plus rien n’allait. De toute façon, il n’aimait pas cet endroit, il n’aimait pas la terre, il n’aimait pas les terriens. Sa tristesse allait beaucoup plus loin que ça en fait, ce n’était pas une question d’habitat mais de sensation étrange de perte, il l’avait perdu. Rien de ce qu’il pouvait faire de ses journées et de ses nuits n’arrivait à éteindre cette tristesse. Il aurait adoré venir se planter dans l’infirmerie du camp toute la journée à discuter avec elle, comme ils avaient pu le faire dans le passé mais ce n’était pas possible et il le savait. Il savait pertinemment que s’il s’approchait d’un pas, elle reculerait de vingt, s’il passait sa journée à l’infirmerie, elle trouverait le moyen d’esquiver l’endroit jusqu’à ce qu’il se lasse et c’était là le grand problème, il n’était pas patient pour le coup. Au-delà de cette tristesse, il y avait malgré tout de la colère, une véritable colère à l’encontre de Mallory, elle agissait comme une gamine et ça le gavait.

Après avoir suivi ses camarades en silence, plongé dans un mutisme que seul les quelques bougonnements qu’il prononçait arrivait à l’en faire sortir, Théo rentra au camp. Dans sa vision des choses l’étape suivante était rentrer se coucher et dormir, après s’être lavé bien entendu –important cette étape-. A peine fit il un pas pour se séparer de la petite troupe qu’un supérieur trouva le moyen de l’interpeler. En soit, il aurait très bien pu faire comme si de rien n’était et ficher le camp hors d’ici pour être tranquille mais son esprit de bon petit soldat parfaitement bien dressé le força à se tourner pour écouter. Il baissa les yeux sur ce dont parlait mister –non j’ai pas de nom et je m’en fous XD-  et grimaça de mécontentement en constatant qu’il devait être complètement à l’ouest pour ne même pas s’apercevoir de la vilaine plaie au mollet qu’il s’était fait. Il avait beau ressasser les évènements de la nuit et de la matinée, Théo ne parvenait tout simplement pas à définir à quel moment il avait pu se faire mal, alors savoir si c’était grave ou non, aucune idée, puis il n’était pas médecin, ce n’était pas son job de savoir ça. Il accepta donc d’un bref hochement de tête l’immense joie de devoir passer par la case infirmerie avant de faire la suite de son planning.

Se diriger vers l’infirmerie n’était déjà pas trop plaisant en soit, voir même carrément détestable mais le pire restait à venir. Il poussa la petite porte complètement blasé, ils avaient pas mieux à faire les médecins que de regarder une petite plaie de rien du tout, fin peut être pas rien du tout s’il avait été envoyé de force et pas de son plein gré, qu’importe, il y a toujours mieux à faire. Instinctivement, comme une raison de vivre, il chercha la présence de Mallory dans la salle. Comment des choix faits pouvaient ils définir des amitiés ou non ? Il avait un peu de mal à le comprendre. A ses yeux, elle resterait toujours son amie d’enfance et la fille qu’il aimait profondément, peu importe ce qu’elle avait fait, c’était toujours elle avec ses qualités et ses défauts. Ne la trouvant pas, ce qui devait être pas plus mal en fait, il s’installa sur une chaise et attendit calmement, un peu crevé aussi mais ce n’était pas grave, bizarre mais pas grave. Lorsque le patient le précédent quitta la petite pièce de consultation, et parce que merde il avait pas envie d’attendre quarante piges pour qu’on lui dise qu’il pouvait filer, il se leva et entra directement dans le cabinet. Bien mal lui en pris, l’étau qui avait enserré sa poitrine aurait dû le mettre en garde mais rien y fit et ce n’est qu’une fois dans la même pièce de Mallory qu’il trouva l’idée particulièrement mauvaise. Tout doucement, histoire de se faire la malle sans se faire remarquer, préférant mille fois mourir d’une blessure infectée que sous le venin de cette fille, il actionna la poignée de la porte. Oh certainement qu’il aurait réussi s’il n’avait pas autant la poisse, puis pourquoi qu’elle trouvait le moyen de lever la tête à ce moment-là HEIN. Maintenant c’était trop tard, vaincu par le coup du sort, il se rapprocha bougon d’elle et leva la main pour couper cours à toute insulte qu’elle trouverait justifié.

« Ça ne me fait pas plus plaisir qu’à toi alors marque sur ton petit papier que je suis passé, que je vais très bien et comme ça je vais me faire foutre et tu continues ta journée tranquillement. »

Il inspira profondément pour se donner un minimum de contenance même si cette situation le déstabilisait grandement. Difficile de devoir écourter aux maximums leurs rencontres alors qu’il les désirait plus que tout au monde, qu’il avait toujours envie de passer du temps avec sa camarade, qu’il voulait savoir comment elle allait et essayer de réparer les pots cassés mais entre le désir et la réalité, le pas à franchir était trop grand, trop dangereux et il n’avait pas envie de perdre son temps pour des insultes qui le marqueraient au fer rouge pour des décennies. Son regard croisa celui de son ancienne meilleure amie, est ce qu’elle regrettait qu’il soit monté dans ce vaisseau plutôt qu’un autre et qu’il ne se soit pas scratché, cette question lui laissa un goût amer sur la langue mais il évita de le montrer. Ce qui comptait pour l’instant c’était ce fichu billet qu’elle devait signer… ou alors il pouvait toujours aller voir un autre médecin mais ce serait moins expéditif qu’elle et c’est fou mais puisqu’il allait bien, il ne voyait pas l’intérêt de passer des heures ici à attendre la relève et un autre médecin, elle était assez compétente et elle le prendrait mal s’il disait qu’il attendrait le prochain de médecin, quoi qu’en fait quoi qu’il dise, elle trouverait le moyen de le prendre mal. Le mieux c’était donc d’attendre la tempête, de faire la sourde oreille, de lui balancer quelques saloperies à la tronche et voilà ils en seraient revenu au point de non retour à nouveau, génial.


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Mallory Stark
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MessageSujet: Re: Une discussion ou une exécution [Mallo]   Une discussion ou une exécution [Mallo] EmptyJeu 13 Aoû - 22:21

Dans toutes les histoires il y a du désespoir
Mallo & Théo



Forcément depuis que tous les habitants de l’arche - du moins ce qu’il en reste - sont de retour sur terre, le boulot ne cesse d’augmenter. Il faut en passer par les petits bobos aux carrément blessures de guerre. Et bien sûr étant la plus expérimenter dans ce nouveau monde, Mallory est passée de jeune diplômée bonne à s’occuper des coupures à conseillère en chef de tous les médecins. Deuxième bien sûr, impossible de les envoyer balader car c’est vrai qu’elle en sait le plus avec les quatre mois passés à connaître les galères de la vie sur terre et aussi qu’on ne dit pas non à la patronne si on tient à la vie. D’autant plus que Mallo l’admire depuis toute petite, grande chirurgienne sans aucun doute LA plus grande. Flippante mais tellement parfaite, la jeune femme n’aurait pas voulu avoir un autre chef. Dès son premier stage, elle a ressenti un immense respect pour cette femme qui il faut le dire sait gérer à peu près toutes les grosses têtes de l’Arche. Et puis son fils de tout juste cinq ans est juste adorable.

Cette femme avait tout pour elle dans le fond sauf peut-être une vie sociale très épanouie enfin bon avec un fiston aussi mignon on peut presque déjà dire qu’on n’a réussi sa vie. Ce qui réconfortait Mallo c’est de voir que son idole avait aussi raté sa vie amoureuse donc peut-être était-ce qu’il fallait pour devenir un grand médecin ? Est-ce que ça en valait vraiment la peine ? Mallory n’en était pas sûre du tout, surtout que son crétin d’ex meilleur ami lui manquait en même temps qu’elle rêverait de lui arracher la tête. Ou peut-être pas, rien de tout cela, juste ne plus se sentir ainsi - ne plus avoir besoin de lever la tête de faire la fière, alors que depuis ce fameux jour où elle a fini en taule sur l’arche, elle se sent brisée. Quelques heures plus tôt pourtant, elle avait l’impression d’avoir enfin trouvé sa place, une vie, un avenir avec Theo. A peine quelques petites heures plus tard, tout avait volé en éclats autant pour elle que pour lui. Comment ne pas en vouloir au garde brun ? Mais comment continuer à lui en vouloir d’ailleurs... alors qu’elle l’aime. Bordel, pourquoi aimer quelqu’un qui te brise le cœur hein, marmonnait-elle en se hâtant de rejoindre l’infirmerie pour une nouvelle journée harassante. Heureusement qu’elle pratiquait le plus beau métier du monde. Au moins quand elle travaillait, Mallo arrivait à s’extirper Theo de ses pensées comme lors de ses quatre mois pendant lesquels elle arrivait à moins penser à lui. Il faut dire que les Terriens avaient occupés suffisamment ses pensées. Difficile de s’apitoyer sur son sort quand on est menacé d’extinction par des tarés avec des armes datant d’avant le moyen-âge. En clair, il s’agissait sûrement d’une des raisons qui a permis à ce que la jeune femme éprouve à chaque fois un pincement au cœur, un gros manque dans la poitrine, en apercevant sa tignasse brune. Ne dit-on pas que le temps guéri toutes les blessures ? Dans son cas disons qu’elle n’est plus autant vive, mais que se passera-t-elle quand elle l’aura en face, ah ça... il vaut mieux ne pas trop y penser.

En entrant dans l’infirmerie, la jeune femme enfila sa blouse puis se dirigea directement vers le bureau de la patronne pour voir où celle-ci l’aurait assigné pour la journée. Elle lut donc consultations en urgence  à côté de son nom et de celui de deux autres personnes. Bon, au boulot, avec un sourire aux lèvres, elle attrapa son stéthoscope, un masque pour la matinée et se rendit à la salle de consultations. La blonde faisait partie des premières médecins déjà présentes. Il restait encore ceux restés de garde durant la nuit pour surveiller les patients. Elle allait y passer mais pas pour ces deux prochains jours, elle ne serait là que le jour histoire de lui laisser toute la nuit à penser. Avec un peu de chance, elle mettrait la main sur Emily pour passer la soirée avec elle et lui laisser le loisir de lui changer les idées. Celle-ci avait du bien remarquer que son amie était plus maussade depuis l’arrivée des membres de l’arche. Bon c’était un peu le cas pour la plupart des membres des 100, sauf pour ceux qui étaient soulagés de voir de « vrais adultes ». Il  n’empêche que les autres - ceux enlevés par le mont Weather - ne devaient pas en mener large et que donc, ils avaient vraiment besoin des petits nouveaux. Et en toute honnêteté, Mallo ressent une immense satisfaction doublé d’une énorme soulagement de voir des médecins débarqués surtout des médecins ayant une expérience plus élevée que la sienne. Après tout, elle venait d’être diplômée et on la balançait dans la fosse aux lions. Donc s’imaginer pouvoir se reposer sur d’autres sans parler de leurs conseils, ce serait on ne peut plus agréable pour elle.

La journée se passait assez lentement. Il faut dire qu’il y avait peu de gens blessés ou malades. Heureusement ou malheureusement pour l’ennui que ressentait Mallo. L’ennui égalait évidemment à penser, ce qu’elle détestait par-dessus depuis vous savez quoi. Voyant qu’elle tournait en rond comme dans un cage, on lui offrit le loisir d’aller bouquiner dans le bureau de la patronne qui avait embarqué ses bouquins de médecine. Elle y passa quelques heures avant d’être appelé pour une patient. Au taquet évidemment, elle fonça dans la salle de consultation. Il s’agissait d’un homme présentant de la fièvre et des maux de gorge. Après l’auscultation, elle lui prescrit quelques médicaments et du repos lui demandant de revenir si son état s’aggravait, et de repasser dans le cas contraire dans deux jours pour un nouveau check-up. Elle préférait éviter de voir une épidémie de je-ne-sais-quoi, ce n’était pas vraiment le moment. Alors qu’elle remplissait le dossier de l’homme, un bruit lui fit relever la tête brusquement. Oh non... elle cligna des yeux et serra les dents en constatant qu’il s’agissait de la plus belle vision du monde - j’ai nommé Théo ou la personne qu’elle aurait préféré éviter jusqu’à être vieille et perdre ses dents, la main sur la poignée. Elle remarqua donc sans mal que ce dernier tentait de s’esquiver utilisant ses propres mots en plus. Ses narines se dilatèrent, ben voyons, c’est ça. Un patient reste un patient et aucun patient blessé ne sort de sa salle de traitement non mais ! Elle afficha un air irrité. Croyait-il vraiment qu'il pourrait s'en sortir à si bon compte avec elle ?

« Allonge-toi. » lui répondit-elle d’un ton sec et surtout sans appel avant de se retourner pour se désinfecter les mains et enfiler une nouvelle pair de gants. Ses mains tremblaient. Elle grogna puis respira un grand coup avant de se retourner vers le garçon. Ses yeux furetaient vers une blessure puisqu’il n’était pas là pour rien visiblement. Son attention était toute professionnelle mais tout de même inquiète, malgré l’envie d’utiliser la boite de scalpel qui se trouvait juste à sa gauche sur la petite table. Mallory constata donc une plaie à son mollet. Elle fronça les sourcils se demandant bien comment il s’était fait son compte. Allez ma vieille, pensa à lui comme à un patient et tout ira bien. Son regard se heurta à celui de son meilleur ami - ex meilleur ami - amant ... Theo quoi. se raclant la gorge, elle lui demanda, « Enlève ton pantalon ou si tu y arrives remonte-le au dessus du genou que je puisse regarder ça de plus près. » C’est bien, tu peux le faire Mallo ! Ce n’est qu’un patient... comme les autres... ou peut-être pas. Non certainement pas comme les autres. Misère.


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Théo Newman
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MessageSujet: Re: Une discussion ou une exécution [Mallo]   Une discussion ou une exécution [Mallo] EmptyVen 14 Aoû - 21:45

Mallory Stark a écrit:
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Si seulement ça avait marché, le plan était bon, excellent même mais bon dès qu’il s’agissait de faire chier le monde, Mallory était la première à lever la main. Il sentit déjà les problèmes arriver en voyant son air renfrogné, pas de doute les retrouvailles chaleureuse ce n’était pas pour cette vie. Difficile de lui accorder ne serait ce qu’un sourire quand elle était si… elle-même. L’ordre jaillit, assez  clair pour que Théo, malgré sa très forte envie de filer la queue entre les jambes, dans tous les sens du terme,  s’avance vers le lit de très mauvaise grâce. Une fois sur le lit, il put à loisir observer son environnement, constater où était le danger potentiel et s’il aurait le temps de l’attraper avant qu’elle ne pète un boulon. De toute façon Mallory n’allait pas bien, une fille bravant les interdits est prête à tout par la suite et Théo devait rester sur le qui-vive. Quoi qu’il aurait le temps de la contrer, au cas ça devenait trop dangereux. Rassuré sur son sort, il observa la demoiselle, sa  connaissance du lieu, des procédures, ses envies de toujours bien faire, ses gestes hésitants… Ses gestes hésitants ? Depuis quand elle avait l’air autant stressée en faisant son job ? Il ne fit pas le moindre commentaire néanmoins, retenant une grande envie de se casser d’ici tant qu’il en était encore temps mais voilà qu’elle se tournait déjà pour regarder ce qui se passait. Evidemment que ça faisait soupirer Théo, il n’avait pas besoin d’être ici, il suffisait de se reposer et tout irait bien mais bon s’il commençait à essayer de discuter avec Mallory, elle allait hurler et il n’avait pas du tout envie d’entendre ce qu’elle avait à dire, pas à ce sujet tout du moins. Lorsqu’elle releva la tête, il tenta maladroitement un léger sourire comme pour lui dire qu’il y avait rien, qu’elle n’avait pas à perdre son temps de la sorte. Après tout il y avait bien des gens plus intéressants que lui, des gens pour qui elle était visiblement capable de sacrifier leur avenir commun, alors pourquoi tout d’un coup elle s’inquiétait pour lui, non pardon ça ne devait pas être ça, elle devait juste se mordre les doigts de ne pas être l’investigatrice de ses blessures, oh qu’elle ne s’en fasse pas trop, la véritable douleur venait bien d’elle et du fait qu’elle n’était pas capable de leur offrir une véritable chance. Pour tout bousiller par contre, elle était excellente.

Il haussa les sourcils comme pour demander tu déconnes ? Enlever son pantalon puis quoi encore. Et c’était quoi ce si tu y arrives, mais il l’emmerdait profondément avec son si tu y arrives. Sans même chercher à cacher son exaspération devant la situation grotesque, il se pencha pour remonter son pantalon énervé contre le monde entier pour le coup. Bon le truc c’est que le si tu y arrives n’était pas forcément destiné à le prendre pour un boulet, quoi que certainement aussi. Dans tous les cas, la tenue réglementaire était faîte de telle façon que le froid ne passait pas, mais dans ces cas là difficile de remonter le pantalon. Il resta immobile quelques secondes tandis que ça bourdonnait dans son esprit. S’il y avait quelque chose de pire que de ne plus être avec Mallory à tout bout de champ, c’était bien de se déshabiller devant une fille qui le connaissait intiment. Il n’avait pas envie qu’elle garde ce souvenir de lui, il se doutait bien qu’elle avait barré tous les moments de bonheur de son esprit, de la même manière qu’il l’avait fait mais c’était sa seule copine et ça revêtait une importance capitale à ses yeux. De la même manière qu’il n’aimerait pas voir Mallo mal en point, il n’avait pas envie de l’inverse et peu importe le fait qu’elle était médecin, qu’elle connaissait tout ça.  De toute façon, il était assez têtu pour ne pas se déshabiller devant elle, pas dans ce contexte en tout cas. Il se pencha, faisant carrément comme chez lui, sur la petite table basse et avec une précision chirurgicale, il découpa tout doucement, concentré comme jamais, le tissu au-dessus de genou. A chaque fois que le tissu rentrait en contact avec sa peau, il grimaçait de douleur. Bon peut être qu’après tout ce n’était pas rien, peut-être qu’il allait être coincé ici une bonne partie de la journée. Le mieux était encore de ne pas faire l’autruche, surtout que ça ne résolvait rien et il l’aimait assez pour faire des efforts.

« Bon d’accord, peut être que j’ai surestimé le rien, ce n’est pas le truc le plus sympa que j’ai vu de ma vie. »

Il inspira profondément avant de se lancer. De toute façon, ça ne pouvait pas être pire que cette tension silencieuse, le mieux c’était de grandir un peu et d’essayer de crever l’abcès une bonne fois pour toute, quand bien même ça ne fonctionnait pas, il aurait essayé de faire le premier pas, la part des choses et il n’était en rien responsable des choix qu’elle faisait, elle avait son libre arbitre, comme toujours, malheureusement pour certaines fois.

« J’ai pas voulu tout ça, j’aurais donné n’importe quoi pour que tu aies écouté mes mises en garde, j’ai vraiment essayé de te laisser du temps pour faire ton crime. J’ai essayé de rester au lit, j’ai même essayé d’en parler avec mon père pour qu’il me rassure en disant que ce n’était pas si grave. Rien n’a servi et après une fois qu’il était au courant je pouvais que ralentir les choses mais tu as pris tout ton temps ! Même après, je t’ai pas laissé tomber, j’ai fait en sorte que tu sois dans les 100 même si c’était pas du tout sensé être comme ça. J’avais prévu de venir avec vous, histoire que vous ayez un soldat avec vous mais je crois que mon père s’en doutait parce qu’il m’en a empêché. Alors oui je suis peut être un ami de merde mais tu t’es foutu de ma gueule du début à la fin, tu savais parfaitement que je tenais aux règles, tu savais aussi que je t’aimais, j’ai essayé de te retenir du début à la fin mais tout ça t’en avais rien à foutre. La seule chose qui t’importait c’était d’être le bon petit médecin. Tu me critiques sur le fait d’être un bon petit soldat mais tu ne vaux pas mieux que moi, c’est toi et toi seule qui a brisé notre couple en te levant ce matin-là. C’est toi qui as franchi les limites autorisées. Je t’aime Mallory, je t’aime comme je n’ai jamais aimé aucune personne dans ce monde mais tu n’as pas le droit de briser ce que je suis pour ton petit plaisir personnel et tes rêves de grandeurs. »


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Mallory Stark
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MessageSujet: Re: Une discussion ou une exécution [Mallo]   Une discussion ou une exécution [Mallo] EmptyLun 4 Jan - 20:21

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La jeune femme sentait ses mains trembler, elle fit son possible pour cacher son malaise face à son patient. Un patient pour le moins spécial. Elle essayait de faire le tri dans ses pensées pour se concentrer uniquement sur son devoir, celui de d’apporter aide et soins aux citoyens, peu importe le bénéficiaire, elle devait le faire pour chaque être humain. Enfin ça c’était la théorie qui ne s’était pas appliquée sur l’arche depuis longtemps trop au goût de Mallory qui avait toujours tenté de suivre ce précepte. Inspirant un grand coup, elle se retourna vers le garçon - son amant - son meilleur ami... son patient. Celui-ci comme à son habitude et surtout avec sa tête de mule absolument impressionnante s’était mis en tête de découper son pantalon sous les yeux incrédules de Mallo qui se disait finalement que si elle aurait du s’y attendre à celle-là. Elle ne fit néanmoins aucun commentaire contemplant simplement le jeune garde pendant qu’il se débarrassait du tissu en trop dirons-nous. Dès qu’il eut terminé elle détourna les yeux avant que Théo ne puisse voir que ses yeux avaient commencé une analyse en ordre de ses traits et ce, avec beaucoup d’attention. Autant horrible que leur séparation avait été les sentiments ne s’étaient pas en allé malheureusement pour la santé mental du jeune médecin qui aurait préféré en être libéré mais ce n’était pas le cas et elle devait faire avec pour le moment. Elle grinça des dents pour se punir d’être si naïve. Son regard cessa d’évita le sien quand il lui fit sa confession, inquiète elle inspecta ses traits une nouvelle fois mais cette fois-ci cette inspection était purement professionnel. Bien sûr que cette andouille avait minimisé ses symptômes, ses pupilles étaient légèrement dilatés, il avait mal. Elle leva les yeux au ciel devant son andouille macho, se tourna pour saisir deux pilules et les lui remit avec un verre d’eau. « Cul sec, ça t’aidera à gérer la douleur. » Son regard se fit plus sévère alors que leurs regards se croisèrent, elle le mettait au défi de refuser d’en prendre et là sa fureur serait libérée s’il se la jouait mauvais patient. Elle aurait pu demander à un assistant de s’occuper de lui mais elle ne pouvait pas s’empêcher d’être légèrement possessive ? Ce grand idiot l’avait trahi, vendu au conseil, envoyé indirectement sur terre dans un milieu hostile plus que cela même, mais au fond ses foutus sentiments et leur passé ne pouvaient pas s’effacer si facilement.  « Bien maintenant je vais désinfecter et poser les stéri-strips. Evite de mouiller le bandage durant minimum trois jours et si tu ne peux pas faire autrement tu reviens ici mais interdiction de retirer les stéristrips. » Elle parlait de manière professionnel avec une légère teinte de colère qu’elle n’employait habituellement pas avec ses patients sauf peut-être s’il s’agissait du chancelier ou au père du jeune homme, ce qui déplairait très certainement à Nora. Elle aurait dû savoir que le silence qui s’était installer n’augurait rien de bon.

En effet, à peine avait-elle commencé à prendre soin de la blessure du garde que celui-ci se mit à parler et ce, sans s’arrêter, Mallory leva les yeux vers lui, ses mains en extension au-dessus de sa plaie. Elle écoutait et passait par de toutes sortes d’émotions comme si elle était enceinte han la blague et les hormones. Théo avait la fâcheuse manie de la rendre folle et complètement folle hein, il ne fait jamais dans la demi-mesure. Ce qui semblait à la base être une explication des faits peut-être un léger rependis partait dans tous les sens histoire de bien troubler la blonde qui avait du mal à saisir s’il l’engueulait ou s’il tentait de lui déclarer sa flamme, peut-être les deux à la fois en fait ? Cependant la jeune femme en avait bavé et même si elle n’aurait jamais dû lui faire ce qu’elle comptait faire - ridicule tendance à avoir confiance en son meilleur ami son jeune amant, son amour pas vrai ? - elle aurait dû s’en douter. Mais ç’avait été plus fort qu’elle, elle cherchait peut-être égoïstement à être soutenue dans son entreprise par l’homme qu’elle aimait. Oui elle aurait dû comprendre que ça n’aurait pas changé la façon dont Théo avait été élevé et ses valeurs de suivre les ordres et les règles aveuglement. Elle pouvait bien croire qu’il n’aviat pas souhaité la voir envoyé sur terre comme ça, ça oui, le reste pas vraiment. Sa colère restait trop importante pour cela. Au moins avait-il le courage de la confronter, même si Mallo a toujours su que Théo était brave. Au lieu de cela, Mallo en avait marre d’entendre toujours mon père, mon père, mon père à toutes les sauces ! « Bordel Théo ! Quand finiras-tu par te délibérer du joug de ton père ? Tu t’entends mon père par ci, mon père par là ? Sérieusement tu n’es pas ton père ! Tu n’as pas besoin d’être ton père ! Je n’ai pas besoin que tu sois ton père ... » sa voix se brisa en instant sur ses confidences qui démontraient ses sentiments si forts à son égard. « C’est toi Théo Newman que j’ai... dont j’avais confiance ! Je te l’ai dit, j’ai fait une erreur d’après toi ? J’ai fait une erreur de vouloir me confier à la personne en qui j’avais le plus confiance dans cette fichue arche ? » Elle se leva et le fixa droit dans les yeux. « Tu ne peux pas vouloir me changer autant que je ne peux pas te changer ! C’est autant ma faute que la tienne ! Cet homme serait mort sans médicaments ! Est-ce un crime de sauver des vies qui peuvent l’être ? Non je ne crois pas ! » Elle secoua la tête en proie à la folie avant de poursuivre sa tirade retirant rageusement ses gants, puis les jeta dans la poubelle. «J’avais besoin de ton soutien ! Le tien pas celui d’un foutu garde ! On était sensé se protéger mutuellement ! Tu me l’avais promis petit...» Elle ferma les yeux en instant alors que ses paroles tournaient en boucle dans sa tête. Elle savait qu’elle aurait du se taire mais c’était plus faire d’avoir besoin de lui et pas seulement dans son lit mais dans sa vie en général, tous les jours pour le meilleur et le pire. Etait-elle juste trop naïve pour ce genre de rêve ? Elle se détourna de lui, croisant les bras sur son ventre comme si elle avait froid. « Va-t-en Théo, s’il te plait. » Sa voix tremblotait mélangeait un reste de colère et un pur désespoir, celui de se rendre compte que les liens ne sont pas brisés que ça fait toujours aussi mal même après cinq longs mois à se réveiller en ayant rêvé que tout était différent, que rien n’avaient changé entre eux. Et puis ces je t’aime comment ils pouvaient faire mal... comme si elle ne l’aimait pas.


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Théo Newman
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MessageSujet: Re: Une discussion ou une exécution [Mallo]   Une discussion ou une exécution [Mallo] EmptyLun 11 Jan - 14:46

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Cette journée sentait la poisse à plein nez. Si bonne nouvelle il y avait, Théo n’avait visiblement pas été mis au courant. Est-ce que ça pouvait être pire, difficile de savoir, quoi que s’il ne se penchait pas uniquement sur sa petite personne et son bien-être, oui ça pouvait être bien pire, le médecin était compétant, un peu trop. Rien de toutes ces conneries ne seraient arrivés si elle était un médecin merdique, merdique ne faisait pas parti des défauts de Mallory, bien que ça aurait été très utile pour le coup. Mais si merdique elle avait été, incapable d’être médecin, elle aurait certainement déprimé et une Mallo déprimé c’était peut-être pire qu’une Mallo en colère. Au moins il ne serait rien arrivé. Quoi que si Théo savait tenir sa langue, ce ne serait peut-être pas arrivé non plus. Concours de circonstance, mais il faut toujours trouver un responsable, c’est la loi depuis la nuit de temps, il faut un coupable dans toutes les affaires et même si parfois il y a erreur sur la personne, tout le monde s’en moque éperdument.
Le garde n’était pas rassuré, il avait à moitié confiance en sa partenaire, oh elle savait ce qu’elle faisait, il n’en doutait pas le moins du monde mais elle avait assez de griefs contre lui pour qu’il ait des doutes sur ce qu’elle lui tendait. Il observa les pilules bizarres qu’elle lui proposait, sentant le regard de Mallory sur le sien, regard qui le défiait, raison pour laquelle il but le contenu agacé tout en ne pouvant s’empêcher de lui lancer une pique. Ah c’est sûr que niveau intelligence, on repassera plus tard, il répondait à de la provocation, bien bravo, bel exemple de maturité.

« Tu devrais peut-être les garder pour les patients qui valent si chers à tes yeux. »


Oui, il était jaloux, complètement jaloux du fait qu’elle ait préféré le mettre au second plan dans sa vie dès le départ. Ils étaient même pas ensemble depuis une semaine, donc il n’y avait pas la moindre routine installée entre eux. Il n’avait même pas pu la mettre en colère de base puisqu’elle avait déjà décidée. Donc, il est vrai que prendre des médocs lui laissait un goût amer en travers de la gorge, foutus médocs qui avaient tout explosés entre eux.
Néanmoins le naturel revenant au galop, il hocha la tête obéissant devant les recommandations et le fait qu’il ne devait pas mouiller ces bidules, pas de soucis, surtout si mouiller voulait dire revenir ici. Quoi qu’à la limite, ce n’était pas un problème, il irait faire chier Jackson pour qu’elle s’en occupe, elle râlerait qu’il était un patient chiant mais elle le ferait parce que Nora refuser de s’occuper d’un patient, ce serait plus du tout Nora. Ouai c’était décidé, si mouiller le pansement arrivait, il filerait voir Jackson tout en promettant, qu’il s’occuperait de son fiston quand elle aurait besoin, ce qu’il faisait sans le moindre problème, jouer avec Tobias se révélant être un passe-temps génial. A une époque qui lui semblait si lointaine maintenant, il s’était dit que Tobias aurait un copain ou une copine, après tout il suffisait d’en parler à Mallo, bien sûr il aurait fallu faire ça dans les règles, au risque d’avoir un gros problème avec son propre père. Mais à cette même époque, son monde gravitait autour de Mallory, il pouvait l’attendre des heures dans le couloir, tout ça pour passer du temps en sa présence. Ce temps lui manquait énormément même s’il gardait cela pour lui.

Elle réagissait enfin, était-ce une bonne ou une mauvaise chose, il n’aurait su le dire. Au moins, elle n’était pas insensible à ses propos et il en était rassuré, même si ce n’était pas des plus agréable. Il ouvrit la bouche pour protester lorsqu’elle commença à parler de son père. Mais c’était quoi son problème, il en parlait s’il voulait et lui ressembler n’était pour Théo pas un mal. Cela semblait l’être pour Mallory sans qu’il ne saisisse vraiment pourquoi, il n’avait jamais prétendu être quelqu’un d’autre et oui il idolâtrait son père mais comme tous les enfants, non ? S’il avait un enfant, encore faudrait-il que l’âme sœur veuille bien reprendre sa place dans la vie de Théo, il espérait quand même que son enfant l’idolâtrait, il y avait que Mallo pour reprocher des trucs aussi stupide.

Ses propos sonnaient juste, l’erreur avait été de lui faire confiance. Qu’il l’ait trahi, il ne pouvait prétendre le contraire, elle s’en serait sorti, il en était intimement persuadé, si elle ne lui avait rien dit ou s’il savait franchir un tout petit peu les lignes autorisées, véridique aussi. Mais même avec cela, il trouvait désagréable le fait qu’elle n’éprouve pas la moindre culpabilité quant au fait qu’elle avait contourné la loi avec un mépris évident pour la fonction qu’il occupait. De la même manière que s’il avait abusé de la fonction de Mallory, elle l’aurait certainement mal pris. Il marmonna intransigeant sur ce point, répondant à la question qu’elle posait.

« Les lois ne sont pas faites pour faire jolie Mallory. Je n’ai pas à juger, je dois les appliquer. Pour une personne que tu as sauvée, tu en condamnais une autre quand il y aurait eu pénurie d’air. Oui, pour le coup j’ai eu tort, en même temps pardonne moi de pas avoir deviné à l’époque que la terre était viable et que l’on pourrait tous vivre, en théorie. »

La tempête menaçait de les engloutir, il en était parfaitement conscient, surtout en voyant ses gestes rageurs lorsqu’elle jetait ses gants. Malgré cela, il devait reconnaitre qu’être avec elle relevait d’un bonheur immense, peu importe les propos qu’elle lui tenait sur une promesse vieille d’une dizaine d’années. Ça va il avait tenu sa promesse d’après lui, ce n’était pas non plus comme s’il avait fait une croix sur son amitié, il avait essayé de la garder en vie, même si elle ne devait sa survie qu’à son talent à elle. Il était même maso pour le coup puisqu’il cherchait à communiquer. S’il ne tenait pas sa promesse, que faisait-il, on se le demande bien !

« De la même manière que tu es un médecin génial, je suis un foutu garde d’accord ! Je serais une ordure si je faisais aux autres ce que je suis incapable de faire appliquer quand ça me touche personnellement. Tu aurais préféré que je me targue de principes et que je ne les applique pas ? »


Lorsqu’elle prit la décision de lui tourner le dos, une nouvelle fois, il en ressentit une peine immense. Il ne pouvait pas vivre sa vie loin d’elle, ce n’était pas possible. C’était sa meilleure amie, elle le demeurerait toujours, ils se connaissaient depuis tout petits et il ne voulait pas tirer un trait sur elle. Il se leva donc à sa suite, non sans lancer un regard flippé à son bandage, puis vint l’attraper pour la regarder dans les yeux.

« D’accord, je reconnais, j’ai merdé ce jour-là. Je veux me rattraper, je n’arrive pas à vivre loin de toi, j’en ai pas envie. »


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