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 Une histoire pour s'éloigner des contes de fées

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Nora Jackson
Nora Jackson

Skaikru


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MessageSujet: Une histoire pour s'éloigner des contes de fées    Une histoire pour s'éloigner des contes de fées  EmptyVen 14 Aoû - 15:00

Présentation du personnage

Afin d'en savoir un peu plus sur moi, je vais me présenter à vous. Je suis [Nora Jackson née Millers] et je suis âgé(e) de [30] ans. Je suis né(e) [sur terre, dans l'espace, au mont Weather] et j'appartiens actuellement au groupe [Peuple du ciel]. J'ai la fâcheuse manie de [toujours chercher du regard où est Tobias depuis qu'on est sur terre]. Même s'il est difficile de reconnaître ses peurs, j'en ai malheureusement une qui me tétanise et je fais tout pour ne pas qu'elle se réalise, ma peur est [qu'il arrive un truc à Tobias]. Même si ça ne vous regarde absolument pas, je veux bien reconnaître que j'aime [lje pensais le savoir mais je ne suis plus très sûre, les hommes ?] et d'ailleurs je suis [célibataire]. Parce que se reposer sur les autres n'est pas toujours évident j'ai eu une formation en tant que [Médecin] et je porte fièrement l'uniforme de [Médecin en chef].

Ta personnalité

Afin de cerner au mieux la personnalité de votre perso, nous vous demanderons de répondre aux questions suivantes avec le plus de précisions possible. (10 lignes minimum)

Ce que votre personnage pense de l'alliance Grounders-Sky People:ça ne me concerne qu'à moitié, je me fiche de savoir avec qui les chefs font des alliances, tout ce que je souhaite c'est éviter qu'il y ait des morts, des blessés, éviter qu'il arrive un truc à mon fils, qu'ils se démerdent tous pour nous protéger, je me charge de les garder en vie
Ce qu'il pense des Grounders: Je n'en sais rien, je n'ai pas à penser à ça, ils sont là c'est un fait étant donné que je suis contre le fait de décimer des peuples trouvant ringard l'idée que certains se pensent supériers, cohabiter avec eux ne me dérangent pas plus que ça
Ce qu'il pense du Sky People: Pour une fois que je suis assez d'accord avec eux, nous avons enfin le droit de sauver tout le monde sans devoir le faire dans le dos des uns et des autres. J'ai besoin de croire que nous ne sommes pas un peuple de tueurs et que nous arriverons à être normaux sur cette terre.
Ce qu'il pense du mont Weather et de ses actions ? ça doit être une blague, jamais des médecins ne feraient des choses pareilles, l'avancée de la science mais à quel prix. Je ne veux rien avoir à faire avec un peuple comme ça et si des gens sont capables de sacrifier d'autres personnes pour leur santé, je m'inquiéterais pour notre avenir, ils franchiront toutes les limites.

La réponse concernant son propre camp n'est pas obligatoire

Le Rpgiste

Au tour du rpgiste de se présenter n'est ce pas ? Donc moi je m'appelle [Habituel], je suis âgé(e) de [22] ans et je fais du rp depuis [chai plu] ans. j'ai découvert le forum par le biais de [moi]. J'ai choisi [Lyndsy fonseca] pour mon personnage. Je serais dispo [7] jours sur 7. Voilà ce que je pense du forum [Allez on se motive c'est bientôt fini. Profitez en si vous avez des questions à les mettre ici   ]. Le code du règlement est le suivant [Notez le ici].

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Nora Jackson
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Skaikru


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MessageSujet: Re: Une histoire pour s'éloigner des contes de fées    Une histoire pour s'éloigner des contes de fées  EmptyVen 14 Aoû - 15:01

Ton Histoire
Histoire du personnage en 25 lignes minimum.
D’aussi loin que remonte mes souvenirs, j’ai toujours adoré l’odeur des désinfectants, l’emballement du cœur lorsqu’on réussit à sauver une vie, et la tristesse qui s’empare de nos êtes lorsqu’on voit s’éteindre un patient, cataclysme dévastant toute pensée positive pendant des minutes, il n’y a aucun moyen d’apprendre à supporter cette douleur, il faut juste passer à autre chose, nous ne sommes pas des dieux et certains périssent, il en a été ainsi de tout temps et on ne peut rien faire de plus qu’essayer de les aider au mieux pour leur dernier voyage, leur rendre leur dignité. Plus jeune, j’avais un peu de mal à faire la part des choses, j’aurais passé ma vie dans les chambres des patients, essayant de faire de ma présence la barrière contre la mort qui menaçait, disons que ce n’est pas toujours si simple, il y a la fatigue qui submerge et bien souvent lorsque j’étais interne, on me soulevait pour m’emmener, au moins dans la salle de pause, se fichant pas mal de mes grognements. Le mieux c’est encore de raconter comment je suis arrivée à être la terreur de mes supérieurs, tout de suite les grands mots.
Comme 99% des gens sur l’arche, je suis fille unique mais mes parents ont dû louper la case amour, à moins que ce soit celle prendre soin de son enfant qui n’ait pas été coché. Quoi qu’il en soit, je crains ne pas avoir été le cadeau de l’année, ni cette année-là ni jamais, pour peu que ça m’intéresse en fait. D’après eux, j’étais un enfant qui pleurait, ouai c’est le principe même d’être un bébé et pour peu que ça soit. A peine assez grande pour commencer à parler, je répétais à qui voulait bien m’écouter que j’allais être soigneur, bon en réalité pour à l’époque j’étais le seul vétérinaire pour peluche de toute l’arche, c’est fou le succès que j’avais, mes petits camarades me ramenaient toutes leurs peluches à la maison pour que je les soigne, ce qui faisait sautiller de joie, et hurler mes parents. Aucune patience, vraiment, il n’empêche que je suis reconnaissante envers tous mes camarades m’ayant laissé rêver et certainement pousser à devenir médecin. Mes deux parents en revanche étaient des briseurs de rêve, soit disant qu’une fille ferait mieux de jouer aux poupées, désirer enfanter, poualalah les ringards. De toute façon, j’avais décidé de poursuivre mes études sans m’occuper d’eux. Alors ouai, j’ai pris quelques claques dans la tête, faut croire que rentrer à minuit est considéré comme un crime contre l’humanité… oui peut être que j’en collerais une à Tobias s’il me fait le coup mais pour le moment revenons à moi jeune. Plus ils essayaient de régenter ma vie, plus je m’entêtais et m’enfuyais vers les études jusqu’à la rupture fatidique le jour de mes 16 ans. J’étais hébergée depuis quelques jours par Conrad qui sans partager mon engouement pour les études, acceptait relativement bien ma présence chez lui et me laissait même son lit, bon d’accord c’est pas du tout comme ça que ça s’est passé. En vérité je squattais le lit pour une micro-sieste entre deux cours à apprendre lorsque ce con s’était glissé à mes côtés. Je l’aurais certainement tué s’il n’avait pas eu de très bon réflexe pour protéger les endroits sensibles. Résultat, il accepta de dormir dans le canapé malgré mes petits désolés, pas très convaincant. Quoi qu’il en soit je n’allais pas rester en boxer soutif durant des jours, surtout en présence d’un gars, oulh la mauvaise idée, donc j’allais récupérer mes affaires chez moi. Quand je poussais la porte, scandant à qui ça intéressait « C’est moi ! Je ne fais que passer » après tout ça s’appelle la politesse, les parents arrivèrent en mode furax, me traitant légèrement par sous-entendu TROP CLAIR de trainée… génial les parents, que j’étais une honte pour la famille et qu’ils ne voulaient plus entendre parler de moi. Etant donné l’état pitoyable de leur cerveau, une belle pathologie que la connerie si vous voulez mon avis, je pris mes clics, mes clacs sans prononcer le moindre mot, sans démentir puisque de toute façon ils ne m’auraient pas cru et filai sans demander mon reste chez Conrad. S’il a été heureux de m’avoir à plein temps, aucune idée, il m’a jamais dit dégage en tout cas… Peut être qu’il n’osait pas.

Quoi qu’il en soit, les études passaient avant TOUT le reste et bordel qu’il était chiant à tenter de me déconcentrer, combien de fois il s’est pris des baffes quand il commençait les moments câlins, insatiable, non mais sans déconner, il était TOUJOURS dans mes baskets. En plus pas très débrouillard, je passais quoi 14h à étudier et quand je finissais, il fallait qu’en plus je passe récupérer les rations de nourriture, soit disant qu’il n’avait pas le temps, que je fasse chauffer le tout et pendant ce temps bah en fait je crois qu’il me matait, franchement rien d’autres à faire que de mater. J’avais beau passer beaucoup de temps sur mes études, étant donné que nous vivions ensemble, que je n’étais pas non plus égoïste, je tentais de savoir ce qu’il comptait faire comme métier et m’attristai pour lui du fait qu’il ne trouvait rien. Je ne sais pas comment j’ai pu être aussi conne pour ne pas remarquer qu’il ne pouvait pas trouver, ne cherchant pas. Quoi qu’il en soit j’essayais de lui remonter le moral par des paroles, et les filles parlent, on règle pas tous nos problèmes par du sexe mais visiblement les mecs si alors je cédais petit à petit à ses avances et l’acceptai dans mon lit tout en mettant les point sur les i, pas tous les soirs, pas quand j’avais des examens et encore moins quand je devais prendre des tours de garde la nuit le lendemain. Il s’y plia assez facilement, tu m’étonnes, petit trouillard.

Je venais à peine d’être médecin quand il décida d’être père, alors là le délire des gars incompréhensible. Je n’étais pas du tout partante mais plus je disais non et plus il devenait chiant, alors je l’ai laissé dans son délire d’arrêter de se protéger pour lui laisser croire que j’étais partante même si de mon côté je prenais la pilule pour éviter le problème bébé. J’étais trop jeune, je voulais gravir les échelons et je n’étais pas prête tout simplement à assumer un enfant. Néanmoins, l’idée de me marier avec m’emballa énormément et je râlais histoire de ne pas passer pour une fille facile même si intérieurement je rayonnais de bonheur. Prendre le nom de Jackson fut une délivrance, finit le nom de la famille que je détestais cordialement. La vie était enfin simple, pour quelques temps seulement mais je respirais la joie de vivre. Je gravis les échelons petit à petit et rien n’arrivait à entacher mon bonheur, ni le fait que les patients mouraient sans que je puisse agir, ni le fait que lorsque je rentrais chez moi, c’était un tsunami de bordel, de canettes balancer à côté de la poubelle, de Conrad qui râlait soit disant que je rentrais pas à l’heure que j’avais dit, excuse-moi d’être resté jusqu’à ce que mon patient meurt mon amour, c’est que c’est dur d’être précise dans ces moments là. Un soir que je rentrais avec la promotion tant convoitée d’être cheffe des médecins, je jure avoir tué personne pour avoir ce poste, avoir bien bossé et peut être avoir un peu insisté mais bon on a rien sans rien, la réponse de Conrad me choqua bien plus que toutes les conneries qu’il pouvait dire habituellement « Cool comme ça on aura plein de nourriture et on pourra se servir dans les médicaments. » Alors ça, hors de question, il n’était pas du tout souffrant, je le savais mieux que quiconque, dans ma bêtise ou mon amour, je cru qu’il plaisantait alors je laissais couler pour cette fois.

Il ne plaisantait pas du tout et c’est un matin que je me levais seule, première fois en six ans qu’il ne dormait pas quand je me réveillais. C’est un peu surprise mais ravie qu’il ait décidé de prendre sa vie en main que je me débrouillais avec le petit dej jusqu’à ce que prise d’un mauvais pressentiment, je cherche ma carte magnétique dans mes affaires avant de rager, de foncer en pyjama dans la clinique et de bloquer toutes les issues une à une pour l’empêcher de sortir d’ici. Notre discussion fut pour le moins houleuse quand il me tomba dessus dans le bureau tandis que je faisais l’inventaire de ce qu’il allait prendre. Oh savoir que mon mari essayait de faire du buisines sur mon dos et risquer de me faire tuer ne m’emballait guère mais on était marié… pour le meilleur et pour le pire et il devait être dans sa période du pire. Bien entendu qu’il vint me râler dessus, pauvre ptit père je lui bloquais les accès. On se prit donc la tête pendant environ quarante minutes où il essayait de discuter le fait que ça pouvait rapporter gros tandis que j’essayai vainement de lui faire comprendre qu’il sacrifiait des vies pour des objets dont il n’avait pas besoin, puis de toute façon je n’aurais pas cédé, il lâcha donc l’affaire et me fit la tronche pendant deux semaines. Deux semaines où j’avais un boulet chez moi qui ne m’adressait même pas la parole et ça me fit énormément de peine alors j’essayai de faire des efforts de mon côté, quitte à le rejoindre sur le canapé, et me faire éjecter en moins de deux.

Après les deux semaines on eut quelques périodes tranquilles et d’autres où il faisait chier à fouiller dans tous les tiroirs de la clinique quand il venait en auscultation pour des bêtises, je marmonnais à chaque fois que je le voyais arriver avec un sourire « Tu sais que je suis compétente même en dehors d’ici et que ça peut attendre ?! » mais parler donc à un mur vous m’en direz des nouvelles. S’il n’y avait que ça le problème mais à l’époque j’avais la petite Mallory dans les pattes, vraiment tout le temps dans les pattes et je devais faire en sorte qu’elle ne le rencontre pas afin d’éviter qu’il ne fasse du chantage sur elle, ce qu’il aurait fait connaissant Conrad, et en même temps je devais donc m’occuper de mon apprentie médecin et de mon pot de colle de mari. Mes journées étaient légèrement mouvementés et peut être que j’étais un peu plus tranchante qu’avant.
Vers l’âge de 24 ans, un peu après je crois, je décidais enfin d’arrêter la pilule, me trouvant prête et n’ayant plus rien à grader, une fois au sommet, bah on y reste XD. Du coup, j’avoue que ma consommation de test de grossesse a été alarmante, s’il y avait la peine de mort pour ça, j’aurais été tué au moins dix fois, mais j’étais impatiente, je voulais cet enfant et le jour où enfin le résultat fut positif, je me précipitais vers Conrad, quittant peut être un peu mon post précipitamment. Vous savez ce qu’on dit sur la joie d’être parent, bla bla bla, je crois que Conrad a lui aussi louper ce petit truc, lorsque je lui appris, les yeux brillants de joie et de plaisir, il me rappela le petit mensonge prononcé à mes 18 ans comme quoi j’étais certainement stérile, quoi j’allais pas tomber enceinte aussi jeune. Je tournais donc autour du pot, restant un peu évasive sur les progrès de la science et remerciant ma bonne étoile que mon adorable –saaaarcasme- époux soit un peu sur la lune et pas très futé. Quoi qu’il en soit, la nouvelle ne l’emballait pas et il cherchait la merde avec le fait que je pouvais pas m’arrêter de bosser, sinon on allait mourir de faim. Je lui hurlais dessus, je plains encore les voisins, que s’il bossait il n’aurait même pas ce problème en tête, et dans sa grande clémence, il me rappela que si je le laissais prendre dans les stocks il n’y aurait pas de problème du tout. Pour le coup, ça m’empêcha de répliquer, je trouvais l’idée conne, je le laisserais de toute façon pas faire et puis merde il me gavait.

Je fis en sorte d’arrêter le plus tard possible de bosser et me débrouillai même pour avoir assez d’heure de travail pour subvenir à nos besoins, épuisée des batailles verbales avec Conrad et son désir de contourner les règles. Qu’on soit bien d’accord sur ce point, je n’ai jamais été contre dépasser les limites, j’ai laissé bon nombre de mes médecins trafiquer les sorties de médicaments pour des patients qui n’auraient pas dû en avoir une dose de plus, tout ça je le savais, je laissais couler et j’essayai même quand je le pouvais d’effacer les traces de tout en haut même si c’était dangereux, mon équipe passait avant tout. Il y a cependant une différence entre truander pour des vies et truander pour le plaisir et ça j’avais dû mal à l’accepter.
L’arrivée de Tobias fut une joie immense, pas vraiment partagée par mon « âme sœur » mais je m’en fichais complètement. S’il y avait eu que moi j’aurais passé des heures et des heures à garder mon petit trésor dans mes bras et à lui faire des bisous pour le regarder sourire mais rien ne se passe vraiment comme on le souhaite et je dus bien le confier à son père quand je travaillais. La présence de Tobias me rendit d’ailleurs beaucoup plus lucide et critique envers Conrad, nos disputes se faisaient de plus en plus courante, le simple fait qu’il néglige mon enfant alors qu’il était là toute la journée me rendait folle. Ah il comprit le message, trop bien, un matin que je travaillais, il m’apporta Toby à la clinique devant tout le monde, se fichant éperdument des patients, des autres médecins, il se contenta de me prévenir qu’il allait avec des amis faire on ne sait trop quoi et qu’il ne pouvait pas le garder. Si un regard pouvait tuer, il serait mort mais je n’allais pas jouer avec la vie de Tobias et préférait carrément le garder avec moi plutôt que de le coller de force à Conrad qui le laisserait de côté.

Notre rupture définitive eut lieu lorsque Tobias tomba malade vers ses un an et demi et que je laissais un mot le matin pour que Conrad lui donne ses médicaments quand il se réveillerait, ou que le petit le réveillerait. Qui est ce que je vis débarquer dans mon hôpital pour voir un médecin, je vous le donne en mille, mon débile de mari. Je lui grognais dessus que je n’étais pas le décor et que je lui avais déjà laissé un mot ! Non mais si en plus il savait pas lire, où allait le monde. Il me rétorqua qu’il voulait voir un vrai médecin, avec le vrai en majuscule dans sa voix. Le soir même, je le laissai en plan, récupérant mon fils, mes affaires et me débrouillant pour aller ailleurs. Par la suite, ma vie fut étrangement beaucoup plus facile en fait, le seul petit problème était pour faire garder Tobias mais il y avait toujours un médecin partant pour veiller dessus et j’avais assez confiance en eux pour leur confier mon petit trésor. Si je n’ai jamais repris mon nom d’enfance ni pour moi, ni pour lui c’est parce qu’à la limite faire un choix entre qui était le pire, je n’étais pas certaine que Conrad l’était.
Puis il y eut ce jour où Mallory se fit arrêter, en fait de toutes les personnes travaillant dans la clinique, elle était pour moi hors de danger. Elle était bien entourée et je pensais sincèrement que ceux qui étaient dans sa vie couvriraient tous ses méfaits, j’ai assez mal vécu le fait de m’être trompé et de ne pas avoir surveillé plus ce qu’elle faisait, même si rien dans les données ne montraient qu’elle transgressait la loi, comment ils l’avaient su, je l’ignore mais je redoublais de prudence envers tous les autres.

L’arche s’éteignit peu à peu après ça et le stress pré apocalyptique inquiétait tout le monde, il fallait faire attention aux gens voulant des médicaments pour mourir, des vrais malades. Quand il fallut faire un choix pour monter dans les stations retournant sur terre, je me retrouvais avec Conrad qui essaya le premier rapprochement depuis trois ans et qui se prit un coup de poings pour réfréner ses ardeurs. Une fois sur terre, le tout est devenu assez chaotique, entre le fait que les trois quarts des médecins sont morts, qu’il faut tout réorganiser dans un monde que je ne connais pas encore. Si par moment l’envie de paniquer me gagne, je reste stoïque sachant que si nous commençons à paniquer, tout le monde suivra alors j’essaie de mener les médecins du mieux que je peux, essayant petit à petit de retirer le fardeau des épaules de Mallo… Mallo qui se comporte bizarrement, Mallo qui a l’air de ne pas être dans son état normal. Il faudrait que je lui pose certaines questions mais pour le moment, ce n’est pas ce qui prime, il faut soigner, effectuer les tours de garde des autres médecins et empêcher Conrad de rejoindre à nouveau ma vie et surtout dans celle de Tobias, c’était facile sur l’arche de l’éviter mais maintenant ?

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Tobias Jackson
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Skaikru


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MessageSujet: Re: Une histoire pour s'éloigner des contes de fées    Une histoire pour s'éloigner des contes de fées  EmptyVen 14 Aoû - 15:22

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MessageSujet: Re: Une histoire pour s'éloigner des contes de fées    Une histoire pour s'éloigner des contes de fées  EmptyVen 14 Aoû - 15:24

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Qui finira dans mon lit
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MessageSujet: Re: Une histoire pour s'éloigner des contes de fées    Une histoire pour s'éloigner des contes de fées  EmptyVen 14 Aoû - 15:32

HAYDEN, DEHORS

Mon tit Tobi <3
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MessageSujet: Re: Une histoire pour s'éloigner des contes de fées    Une histoire pour s'éloigner des contes de fées  EmptyVen 14 Aoû - 15:36

Je connais pas le chemin. Tu sors avec moi ?  Une histoire pour s'éloigner des contes de fées  2258077380  
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MessageSujet: Re: Une histoire pour s'éloigner des contes de fées    Une histoire pour s'éloigner des contes de fées  EmptyVen 14 Aoû - 15:38

Mon dieu I love you
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MessageSujet: Re: Une histoire pour s'éloigner des contes de fées    Une histoire pour s'éloigner des contes de fées  EmptyVen 14 Aoû - 18:20

Hayden *pose un doigt sur sa bouche* ferme là, tout de suite.

Ma tite Mallo <3
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MessageSujet: Re: Une histoire pour s'éloigner des contes de fées    Une histoire pour s'éloigner des contes de fées  EmptyVen 14 Aoû - 18:31

*obéit sagement pour gagner des points.*

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